L’Empire Imprenable

Aujourd’hui, je veux partager avec l’idée d’un empire imprenable et comment l’appliquer aujourd’hui et pour le reste de ta vie.
À l’époque des empires considérant qu’on en est sorti de ce modèle, il y avait deux sortes d’empires ou deux types de gouvernance : le premier du type empire Ottoman et le second à la monarchie française. L’empire Ottoman était un système de gouvernance centralisé, toutes les régions de l’empire étaient dépendantes du centre , de la capital. Le moindre problème à la capital se répandait au reste de l’empire, si on prenait Istanbul on prenait tout l’empire. À l’inverse, les empires du type monarchie française par le système des ducs étaient décentralisés. Les ducs étaient des gouverneurs-généraux qui au nom du souverain exerçaient les pouvoirs sur l’ensemble d’une région, le souverain devait compter avec eux pour le maintien de l’ordre et prendre en compte leur volonté afin de les garder dans le royaume, les ducs pouvaient passer d’un royaume à un autre emportant avec eux la région qu’ils contrôlaient.
Ce système équilibrait le pouvoir dans le royaume et qui la libérait de la dépendantes de Paris, même si Paris était pris ça ne compromettait pas tout l’empire. C’est ça un empire imprenable, pour réellement prendre l’empire, il fallait conquérir toutes les régions une par une, ce qui donnait le temps de manœuvrer, s’organiser pour défendre ce que pouvait être encore défendue et reconquérir ce qu’avait été perdu.

L’esprit d’un être-humain aussi est un empire avec des pensées dominantes et récurrentes. On doit cependant choisir quel type d’empire, on veut développer dans son esprit : ottoman ou monarchie française, centralisé ou décentralisé.
Une pensée á un instant donné crée une émotion précise qui va produire à son tour un attitude ou un action et une fois l’attitude ou action déclenché on a tendance à répéter la même action ou en developper des actions et attitudes semblables, par exemple une personne qui prends la décision de suivre un régime et de se remettre au sport pour perdre du poids, un bon jour passant prés d’une boulangerie craque, mange un pain au chocolat et en remange un deuxième et troisième en « disant toute façon j’ai déjà mangé le première, ça ne sert plus á rien de se retenir ». L’empire mental de cette personne a été conquis, c’est bien triste.
Ou encore la personne qu’en rentrant chez elle le soir après une dure journée de boulot, ouvre la boite aux lettres et trouve une belle facture inattendue à payer , on va dire une belle facture de charge de syndic trimestrielle à payer après le début de la guerre en Ukraine (je suis taquin hahahaa) , après s’être rentré à la maison cette personne subira une grosse pression de son esprit pour ne pas aller á la salle de sport, de ne pas manger les brocolis et à la place commander une pizza, tout simplement une envie de tout plaquer, de tout laisser tomber, d’abandonner tout bonnement.
Ça nous est arrivé à tous un événement qui déclenche en nous des réactions en chaîne, pour les uns, c’est le pain au chocolat, pour d’autres la facture inattendue et encore pour les autres la perte d’un proche.

Ton champ de pensées, ton esprit doit devenir un empire imprenable. Doit devenir décentralisé et arrêter toute réaction en chaîne. Reste dans la course, n’abandonne pas même si la capital est occupée, protège ce qui peut encore être protégé organise l’assaut et va délivrer la capital occupée par l’ennemie. L’ennemie prend plusieurs formes, le plus grave est celui de la pensée négative, le plus dangereux encore la pensée négative qui s’installe, qui devient une habitude comme les fameux « je suis nul », « je suis de la merde, etc. Tu sais de quoi je parle. 
Ne t’effondre pas sur tes problèmes, des problèmes tu en auras toujours ça fait simplement partie de la vie. Ne demande pas à que les problèmes soient moins coriace, demande à toi même d’être plus dure et plus fort n’oublies pas que : « le fer le plus dur a été forgé par le feu le plus chaud« .
Vas-y, mon gars défend ce qui peut encore être défendu, organise l’assaut, va reprendre ce qu’on t’a pris.
Force à toi, au prochain épisode. 

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